« Depuis dix-huit mois, Villeurbanne – comme elle a pu le faire lors des grandes migrations du siècle précédent – accueille des réfugiés, fuyant la guerre et les persécutions, pour la plupart venus du Moyen Orient et d’Afrique et ayant transité par Calais. Ils ne sont pas en plus. Ils ne sont pas en trop. Il séjournent parmi nous avec leur histoire, le temps de se reconstruire, ce qui leur était impossible dans leur pays d’origine. Leur accompagnement ne se fait au détriment de personne. Nous n’abandonnons pas les uns pour aider les autres. Nous poursuivons simplement notre mission de solidarité avec pour conviction de défendre un idéal de fraternité que Villeurbanne a toujours incarné. »